Semaine du 5 juillet 2010 - Choisir d’avoir de l’aide ou pas
(L'anecdote par Denis; rédigé par Ruth; traduction par Nathalie)
Samedi dernier avant de quitter Vancouver, je suis allé jouer une partie de golf. Quand je suis arrivé au terrain de golf, il y avait un homme et son fils prêts à jouer et on m’a mis en équipe avec eux. Rendu au 13e ou 14e trou, l’homme m’a demandé ce que je faisais dans la vie. Je lui ai expliqué que je donnais des traitements d’énergie. Au 15e trou, il m’a demandé si je savais quel genre de maladie il avait. Je lui ai dis qu’il avait le testicule droit très enflé et que toute son énergie était concentrée son côté droit. Il m’a confirmé qu’il avait de la difficulté à marché et avait de la douleur sur le côté droit.
Le monsieur m’a alors demandé comment je travaillais avec l’énergie. Je lui ai expliqué qu’avant d’analyser quelqu’un et de diriger mon énergie vers lui ou elle, je demande toujours la permission à l’âme de la personne. Je lui ai donc demandé sa permission pour l’analyser. J’ai remarqué plusieurs blocages dans différentes régions de son corps. Quand je trouve des blocages, je peux les transformés avec la permission de la personne et de son âme si ils sont ouvertes à ça. Je pouvais sentir que son énergie était très forte, que son âme demandait de l’aide.
C’est à ce moment que l’homme m’a donné la permission de le traiter. Je me suis alors connecté à lui en le regardant et en montant ma vibration pour atteindre la sienne (pour travailler physiquement comme pour jouer au golf, je dois descendre mes vibrations). Après quelques instants seulement, j’ai commencé à sentir les blocages se défaire. Comme la vibration était très haute, je sentais qu’on pouvait réussir une guérison instantanée. Je n‘étais pas du tout préparé pour ce genre de traitement, j’étais seulement venu pour jouer au golf. J’ai commencé à me sentir étourdi à cause des vibrations très élevées. Quand je me suis assis, l’homme est venu s’asseoir prêt de moi et a continué à s’ouvrir. Je me suis alors reconnecté à lui pour faire recentrer l’énergie dans son corps jusqu’à ce que l’enflure disparaisse et que l’homme soit bien centré. Il s’est levé et s’est mis à crier qu’il allait bien. Il était si heureux, qu’il a joué sans difficulté jusqu’à son dernier trou. Il m’a remercié pour la guérison et s’est mis à pleurer.
Après cette expérience, j’ai décidé de recommencer ma partie de golf. Quand je me suis présenté à nouveau au préposé pour avoir mon départ, il m’a dit vas-y maintenant et il n’y aura pas de frais. Ça, c’était mon cadeau directement de l’univers. J’ai joué les trois premiers trous seul. Au quatrième trou, je me suis joint à un homme qui jouait avec un couple qu’il ne connaissait pas. Nous avons donc joué les quatre ensemble.
Rendu presque au dixième trou, mon coéquipié m’a demandé ce que je faisais dans la vie. Je lui ai expliqué que je donnais des traitements d’énergie. Comme l’homme d’avant, il m’a aussi demandé si je savais quel genre de maladie il avait. Je lui ai répondu qu’il souffrait d’une maladie liée au foie. Il m’a tout de suite averti qu’il n’avait pas besoin d’aide. Alors, je me suis seulement contenté de garder l’espace autour de lui. Au trou suivant, il m’a demandé ce que je faisais avant de travailler avec l’énergie. Je lui ai dit que j’étais un officier de police. Il m’a avoué que nous étions du coté opposé de la loi parce que dans les années 70 il était très impliqué dans le trafique de la drogue. Je voyais bien qu’il était très fermé et je sentais de la friction et de la frustration venant de sa part. Au prochain trou, il a dû arrêter sa partie tellement il avait mal. La femme qui était aussi dans notre équipe, ne lui donnait pas long à vivre même si elle ne le connaissait pas du tout. Ce que je voyais moi, c’est que son foie était endommagé en parti à cause de sa rage qu’il n’avait pas maitrisé.
Ces deux expériences de golf très différentes, démontrent comment nous avons toujours le choix dans la vie de nous ouvrir à l’aide qui nous est offerte ou de nous fermer pour continuer à vivre avec notre douleur.
Wednesday, July 21, 2010
Friday, May 21, 2010
L'anecdote de la semaine
Semaine du 17 mai 2010 - Prédire les maladies
(L'anecdote par Denis; rédigé par Ruth; traduction par Nathalie)
Depuis mes débuts, en travaillant avec l’énergie universelle, je me suis rendu compte que j’arrivais à lire le corps des gens et à prédire les maladies qui s’y développeraient plus tard. Il y a dix ans, je donnais un traitement d’énergie à une amie que je connaissais depuis déjà quinze ans. À l’époque, je lui ai recommandé d’être très prudente lorsqu’elle canalisait l’énergie parce que ça pourrait lui causer des maladies. Elle n’était pas assez enracinée pour la lumière qu’elle recevait.
En mai 1998, mes guides spirituels m’avaient informé que les vibrations de la planète avaient changé, et qu’il fallait aussi changer notre façon de s’enraciner pour pouvoir intégrer de plus grandes quantités de lumière. C’est pourquoi, nous devons maintenant nous enraciner avec les deux chakras de la base et non par les pieds. Dans le cas de mon amie, elle avait besoin d’une base plus forte et plus large. Je lui ai dit qu’elle risquait de développer une maladie de tête si elle continuait comme ça. Elle n’était pas d’accord avec cette information et elle a arrêté de venir me voir pour des traitements.
À travers les années, je me suis rendu compte que les gens ne sont pas du tout réceptifs quand je leur parle des troubles ou des maladies qu’ils pourraient avoir plus tard. Au lieu de s’intéresser à ce qu’ils pourraient faire pour aller mieux, plusieurs se retirent et cessent leurs traitements temporairement ou même définitivement. Dans le cas de cette amie de longue date, elle est revenue pour un traitement il y a quelques semaines après une absence de presque dix ans. Quand elle est arrivée devant moi, j’ai vu dans son corps exactement ce que je lui avais prédit plusieurs années avant. J’ai pu voir aussi qu’elle n’était toujours pas assez enracinée. Quand les gens sont très bien enracinés, ils ne tombent pas malade. Ils peuvent utiliser toute la lumière qu'ils reçoivent pour les aider à rester en bonne santé au lieu de nourrir le mental, mais cette lumière doit être bien intégrée et bien enracinée.
Quand on canalise beaucoup de lumière, l’enracinement fait par le pieds et la terre n’est pas assez fort. Nous devons nous enraciner par les deux chakras de la base. Quand le premier et le deuxième chakras sont connectés, il se créé une force énergétique et un équilibre avec tous les autres chakras. Ce qui nous permet d’enraciner, de transformer et d’intégrer la lumière plus rapidement et plus facilement. Un enracinement insuffisant empêche la bonne circulation de l’énergie. Quand vous n’êtes pas bien enraciné, les émotions ne circulent pas facilement dans le corps puis des blocages d’énergie se créent. Ces blocages d’énergies deviennent ensuite des malaises et des maladies physiques.
Ces expériences m’ont apprises que certaines personnes lorsqu’elles sont informées de leurs futures maladies choisissent de ne rien faire pour les prévenir parce qu’elles ont besoin de vivre un apprentissage à travers la maladie. Ce que je veux dire, c’est qu’ils ont besoin de cette expérience difficile pour faire grandir leur âme. C’est pourquoi, maintenant je ne parle plus à mes clients des futures maladies qu’ils pourraient développer, à moins bien sûr qu’ils me le demandent, et j’ai l’accord spécifique de mes guides de le faire.
(L'anecdote par Denis; rédigé par Ruth; traduction par Nathalie)
Depuis mes débuts, en travaillant avec l’énergie universelle, je me suis rendu compte que j’arrivais à lire le corps des gens et à prédire les maladies qui s’y développeraient plus tard. Il y a dix ans, je donnais un traitement d’énergie à une amie que je connaissais depuis déjà quinze ans. À l’époque, je lui ai recommandé d’être très prudente lorsqu’elle canalisait l’énergie parce que ça pourrait lui causer des maladies. Elle n’était pas assez enracinée pour la lumière qu’elle recevait.
En mai 1998, mes guides spirituels m’avaient informé que les vibrations de la planète avaient changé, et qu’il fallait aussi changer notre façon de s’enraciner pour pouvoir intégrer de plus grandes quantités de lumière. C’est pourquoi, nous devons maintenant nous enraciner avec les deux chakras de la base et non par les pieds. Dans le cas de mon amie, elle avait besoin d’une base plus forte et plus large. Je lui ai dit qu’elle risquait de développer une maladie de tête si elle continuait comme ça. Elle n’était pas d’accord avec cette information et elle a arrêté de venir me voir pour des traitements.
À travers les années, je me suis rendu compte que les gens ne sont pas du tout réceptifs quand je leur parle des troubles ou des maladies qu’ils pourraient avoir plus tard. Au lieu de s’intéresser à ce qu’ils pourraient faire pour aller mieux, plusieurs se retirent et cessent leurs traitements temporairement ou même définitivement. Dans le cas de cette amie de longue date, elle est revenue pour un traitement il y a quelques semaines après une absence de presque dix ans. Quand elle est arrivée devant moi, j’ai vu dans son corps exactement ce que je lui avais prédit plusieurs années avant. J’ai pu voir aussi qu’elle n’était toujours pas assez enracinée. Quand les gens sont très bien enracinés, ils ne tombent pas malade. Ils peuvent utiliser toute la lumière qu'ils reçoivent pour les aider à rester en bonne santé au lieu de nourrir le mental, mais cette lumière doit être bien intégrée et bien enracinée.
Quand on canalise beaucoup de lumière, l’enracinement fait par le pieds et la terre n’est pas assez fort. Nous devons nous enraciner par les deux chakras de la base. Quand le premier et le deuxième chakras sont connectés, il se créé une force énergétique et un équilibre avec tous les autres chakras. Ce qui nous permet d’enraciner, de transformer et d’intégrer la lumière plus rapidement et plus facilement. Un enracinement insuffisant empêche la bonne circulation de l’énergie. Quand vous n’êtes pas bien enraciné, les émotions ne circulent pas facilement dans le corps puis des blocages d’énergie se créent. Ces blocages d’énergies deviennent ensuite des malaises et des maladies physiques.
Ces expériences m’ont apprises que certaines personnes lorsqu’elles sont informées de leurs futures maladies choisissent de ne rien faire pour les prévenir parce qu’elles ont besoin de vivre un apprentissage à travers la maladie. Ce que je veux dire, c’est qu’ils ont besoin de cette expérience difficile pour faire grandir leur âme. C’est pourquoi, maintenant je ne parle plus à mes clients des futures maladies qu’ils pourraient développer, à moins bien sûr qu’ils me le demandent, et j’ai l’accord spécifique de mes guides de le faire.
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