Wednesday, July 21, 2010

L'anecdote de la semaine

Semaine du 5 juillet 2010 - Choisir d’avoir de l’aide ou pas
(L'anecdote par Denis; rédigé par Ruth; traduction par Nathalie)

Samedi dernier avant de quitter Vancouver, je suis allé jouer une partie de golf. Quand je suis arrivé au terrain de golf, il y avait un homme et son fils prêts à jouer et on m’a mis en équipe avec eux. Rendu au 13e ou 14e trou, l’homme m’a demandé ce que je faisais dans la vie. Je lui ai expliqué que je donnais des traitements d’énergie. Au 15e trou, il m’a demandé si je savais quel genre de maladie il avait. Je lui ai dis qu’il avait le testicule droit très enflé et que toute son énergie était concentrée son côté droit. Il m’a confirmé qu’il avait de la difficulté à marché et avait de la douleur sur le côté droit.

Le monsieur m’a alors demandé comment je travaillais avec l’énergie. Je lui ai expliqué qu’avant d’analyser quelqu’un et de diriger mon énergie vers lui ou elle, je demande toujours la permission à l’âme de la personne. Je lui ai donc demandé sa permission pour l’analyser. J’ai remarqué plusieurs blocages dans différentes régions de son corps. Quand je trouve des blocages, je peux les transformés avec la permission de la personne et de son âme si ils sont ouvertes à ça. Je pouvais sentir que son énergie était très forte, que son âme demandait de l’aide.

C’est à ce moment que l’homme m’a donné la permission de le traiter. Je me suis alors connecté à lui en le regardant et en montant ma vibration pour atteindre la sienne (pour travailler physiquement comme pour jouer au golf, je dois descendre mes vibrations). Après quelques instants seulement, j’ai commencé à sentir les blocages se défaire. Comme la vibration était très haute, je sentais qu’on pouvait réussir une guérison instantanée. Je n‘étais pas du tout préparé pour ce genre de traitement, j’étais seulement venu pour jouer au golf. J’ai commencé à me sentir étourdi à cause des vibrations très élevées. Quand je me suis assis, l’homme est venu s’asseoir prêt de moi et a continué à s’ouvrir. Je me suis alors reconnecté à lui pour faire recentrer l’énergie dans son corps jusqu’à ce que l’enflure disparaisse et que l’homme soit bien centré. Il s’est levé et s’est mis à crier qu’il allait bien. Il était si heureux, qu’il a joué sans difficulté jusqu’à son dernier trou. Il m’a remercié pour la guérison et s’est mis à pleurer.

Après cette expérience, j’ai décidé de recommencer ma partie de golf. Quand je me suis présenté à nouveau au préposé pour avoir mon départ, il m’a dit vas-y maintenant et il n’y aura pas de frais. Ça, c’était mon cadeau directement de l’univers. J’ai joué les trois premiers trous seul. Au quatrième trou, je me suis joint à un homme qui jouait avec un couple qu’il ne connaissait pas. Nous avons donc joué les quatre ensemble.

Rendu presque au dixième trou, mon coéquipié m’a demandé ce que je faisais dans la vie. Je lui ai expliqué que je donnais des traitements d’énergie. Comme l’homme d’avant, il m’a aussi demandé si je savais quel genre de maladie il avait. Je lui ai répondu qu’il souffrait d’une maladie liée au foie. Il m’a tout de suite averti qu’il n’avait pas besoin d’aide. Alors, je me suis seulement contenté de garder l’espace autour de lui. Au trou suivant, il m’a demandé ce que je faisais avant de travailler avec l’énergie. Je lui ai dit que j’étais un officier de police. Il m’a avoué que nous étions du coté opposé de la loi parce que dans les années 70 il était très impliqué dans le trafique de la drogue. Je voyais bien qu’il était très fermé et je sentais de la friction et de la frustration venant de sa part. Au prochain trou, il a dû arrêter sa partie tellement il avait mal. La femme qui était aussi dans notre équipe, ne lui donnait pas long à vivre même si elle ne le connaissait pas du tout. Ce que je voyais moi, c’est que son foie était endommagé en parti à cause de sa rage qu’il n’avait pas maitrisé.

Ces deux expériences de golf très différentes, démontrent comment nous avons toujours le choix dans la vie de nous ouvrir à l’aide qui nous est offerte ou de nous fermer pour continuer à vivre avec notre douleur.